Le Festival international de la mode en Afrique (Fima), édition 2015, se déroulera du 25 au 29 novembre prochain à Niamey (la capitale du Niger). Pour sa dixième édition, les organisateurs annoncent d’ores et déjà la venue d’invités prestigieux. Véritable tremplin de la mode en Afrique, le FIMA 2015 s’annonce haut en couleur.
Le Fima 2015 vise à faire rayonner la culture africaine à travers le monde
Le Fima 2015 se veut plus grand que les éditions précédentes, en ratissant plus large pour toucher le plus grand nombre de personnes. Moulaye Seidnaly, fondateur d’Afrique Prestige, l’agence de communication chargée de la promotion du festival à Paris, a déclaré à Jeune Afrique « Le Fima célèbre la culture africaine et contribue à son rayonnement à travers le monde. »
Pour ce faire, les organisateurs ont invité des personnalités publiques africaines de premier rang : Samuel Eto’o et Yaya Touré seront de la partie, ainsi que la chanteuse nigériane Yemi Alade, l’acteur Joaquim de Almeida, les stylistes sénégalais Xuly Bët, mais aussi Kiko Romeo et Agnès b. En quatre jours de festival, ils accueilleront plus de 350 stylistes, mannequins, personnalités du show-biz et des médias à cet évènement qui devrait réunir plus de 3 000 participants venus du monde entier.
Pour cette dixième édition du Fima, le thème retenu est « Éducation et industrie pour une Afrique de métissage et de paix ».
Pour cette dixième édition le thème retenu est « Éducation et industrie pour une Afrique de métissage et de paix ». Evènement majeur de la mode africaine, le FIMA est surtout un moyen de faire rayonner la mode africaine à travers le monde.
- Valerie Ka (Côte d’Ivoire)
Le FIMA est aussi l’occasion du Concours Top Model 2015, qui prend de plus en plus d’ampleur. Ainsi 80 mannequins, hommes et femmes, originaires de 40 pays, ont été sélectionnés. Parmi eux, un homme et une femme seront couronnés meilleurs mannequins d’Afrique à l’issue de la compétition.
Les anciennes lauréates comme l’Ivoirienne Valérie Ka (lauréate 2003) ou la Camerounaise Amanda Efathel (2013) peuvent en témoigner : ce concours est un véritable tremplin pour la carrière des mannequins africains. Repérées par les agences internationales, elles enchainent les défilés à New York, Paris, ou Madrid.
