Love Gugu a de sérieux griefs contre Apoutchou National. Elle a ouvertement craché ses vérités au fils de Brigitte Bleu dans une vidéo diffusée sur la toile. Que reproche-t-elle au « chéri » d’Emma Lohouès ?
Love Gugu dit ses vérités à Apoutchou National
Après son tumultueux épisode avec Yvidero, Love Gugu brise le silence. La jeune dame a littéralement crié sa colère contre Agbré Stéphane, plus connu sous le nom Apoutchou National. « Mon fils, je n’ai rien fait dans ta vie, mais quand ils étaient en train de saboter ce qui va te donner à manger, je me suis levée et j’ai dit « niet » (…) Quand je vois Apoutchou, je vois mon enfant Koffi Julien. Je ne peux pas accepter que quelqu’un qui essaie de sortir la tête de l’eau, les personnes avec lesquelles il est vont ternir ce qui va lui donner à manger », a lancé Love Gugu dans une vidéo publiée sur Facebook.
En effet, Love Gugu estime qu’elle a énormement soutenu le « chéri » d’Emma Lohoues pour l’évènement « Les oscars des blogueurs et inluenceurs africains », qui s’est tenu 10 septembre 2021 à Paris. Pourtant, poursuit-elle, Apoutchou National l’a carrément ignorée.
« Apoutchou mon enfant, j’ai fait vidéo. J’ai mené un petit combat, insignifiant à tes côtés. Je suis allée prendre des vêtements avec toi que j’ai payé avec mon argent. Quand les Oscars ont commencé, tu étais tellement embrouillé. Je t’ai compris, je suis restée dans mon coin. Nous sommes tous blogueurs. Aujourd’hui, je suis devenue influenceuse plus que jamais parce que j’influence les pécheurs comme moi. Nous autres-là, tu nous a pris comme en bas de chaussures », a déploré Love Gugu.
Pour rappel, Love Gugu s’est révélée aux internautes à la suite d’une vidéo dans laquelle elle révélait avoir eu des relations intimes avec la comédienne Yvidero. Cette affaire a fini devant la justice ivoirienne après une plainte de la web humoriste ivoirienne pour diffamation sur les réseaux sociaux. Déférée à la MACA (Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan), Gugu a finalement été condamnée à trois mois de prison avec sursis assortis d’une amende d’un million de francs CFA.