Accusée de s’être approprié le projet d’émission d’un jeune étudiant, Yvidero a été convoquée devant les juridictions compétentes. Ce qui s’est passé.
Yvidero: »Le droit a parlé. On dit qu’il n’y a pas de plagiat »
La web comédienne Yvidero est au coeur d’une vive polémique qui enflamme la toile depuis quelques jours. Après avoir présenté le jeudi dernier sur sa page Facebook, le premier numéro d’une émission intitulée »Le Confessionnal », une lucarne qui permet de recueillir le témoignage d’une personne ayant été marquée par des coups de la vie, La Didi a été prise à partie par de nombreux internautes qui l’accusaient d’avoir plagié le projet.
Un jeune homme répondant au nom de César Kouamé est monté au créneau, révélant qu’il est l’initiateur de cette émission. Informant que le projet de cette émission a été protégé au Bureau ivoirien des droits d’auteur (Burida), César Kouamé dit avoir contacté certaines célébrités dont Yvidero qui n’a pas donné une suite favorable à sa demande.
Grande fut alors sa surprise, dit-il, lorsqu’il s’apercevra que la nouvelle production de Yvidero, est similaire à la sienne. »Nous nous sommes rendus aussitôt au Burida et après analyse des preuves que nous avons fournies, il nous dit: c’est méchant ce qu’elle fait et qu’elle allait subir le Karma du Burida. Ils ont dit qu’ils allaient agir », a expliqué le jeune étudiant. Cette sortie a davantage contribué au lynchage de Yvidero sur les réseaux sociaux.
Dans une sortie sur sa page Facebook, la comédienne confie avoir été blanchie après son audition. »Je n’ai jamais porté plainte contre quelqu’un parce que j’ai l’amour du prochain. Ils m’ont convoquée. Je suis partie répondre. Le droit a parlé. On dit qu’il n’y a pas de plagiat ! (…) Vous m’avez insultée ! Vous m’avez traitée de voleuse. Combien d’années de travail, vous allez venir gâcher sur la toile à cause d’une affaire dont vous ne connaissez pas les tenants ni les aboutissants. Vous avez tout dit sur moi. C’est maintenant pour vous va sortir», a menacé Yvidero, avant d’ajouter: »L’enfant m’a demandé pardon. Il m’a dit que des gens lui ont monté la tête; il a même cité les noms. Donc apprêtez-vous », a-t-elle lancé.