Dans son rapport sur les violences qui ont émaillé les manifestations de l’opposition ivoirienne en protestation contre la candidature d’Alassane Ouattara, Amnesty International a indiqué que des hommes armés de machettes et de gourdin, en complicité avec les agents des forces de l’ordre, s’attaquaient aux manifestations. Après le démenti de la police nationale, c’est au tour du Gouvernement ivoirien de monter au créneau pour se dédouaner de ces graves accusations.
Le Gouvernement ivoirien s’explique sur l’encadrement des manifestations de l’opposition
Le Gouvernement ivoirien oppose « un démenti formel aux allégations tendancieuses d’Amnesty International et condamne fermement ces accusations non fondées qui tendent à faire croire que la Police nationale collabore avec des groupes d’hommes armés n’ayant reçu aucune formation à cet effet, en violation des procédures en vigueur en Côte d’Ivoire ».