Didier Drogba a profité de la célébration de la fête des Mères pour rendre un vibrant hommage à sa génitrice. L’ancien footballeur ivoirien raconte d’ailleurs une anecdote à propos d’un larcin qui fut couvert par « sa complice ».
L’hommage de Didier Drogba à sa mère
26 mai 2019, c’était la fête des Mères, et Didier Drogba en a profité pour évoquer la complicité qui a toujours existé entre lui et Mme Clotilde Drogba, sa génitrice. Remontant à son enfance, l’ancien capitaine des Éléphants de Côte d’Ivoire est revenu sur un fait qui l’a profondément marqué. Il s’agit de l’argent de son père.
Cet acte qui coûte généralement une bonne fessée aux enfants pour éviter qu’ils grandissent avec ce comportement a cependant été couvert par la mère, qui a encaissé la colère du père. Tito, le nom d’enfance de Drogba, s’en est donc bien tiré avec une leçon à lui donnée par sa mère : la gestion financière.
Devenu une mégastar intercontinentale, l’ancien buteur de la sélection ivoirienne a toujours en mémoire cette protection que sa mère lui a toujours assurée. Le lui rappeler en cette journée de célébration des mamans est pour lui, une autre marque d’affection. Et par delà sa génitrice, il fait un clin d’oeil à toutes les mamans du monde.
Le Message de Drogba aux mamans
Quand j’étais petit. J’ai pris l’argent de Papa. Et Maman savait que c’était moi qui avait pris. Pour ne pas que Papa me frappe, Maman a dit que c’était elle qui avait pris. Quand Papa a fini de la gronder, elle m’a dit d’aller acheter des biscuits et de garder le reste de l’argent pour l’école.
C’est l’une des plus belles choses que je ne m’oublierai jamais.
Un enfant est une bénédiction. Quand vous tombez enceinte, évitez d’avorter ou d’abandonner l’enfant, battez – vous et sacrifiiez – vous pour votre enfant, l’enfant est peut être celui qui vous construira votre paradis de demain.
Et puis la femme n’est pas un instrument de plaisir mais elle est la vertu et l’honneur de la maison, elle mérite le plus grand respect et la plus grande considération: Ne pas respecter la femme, c’est oublier sa propre mère.
Bonne fête à toutes les mères du monde…