Le nom de Joseph Aimé Monoko Barato Maranatha rime avec le milieu du showbiz en Côte d’Ivoire. Plusieurs artistes ont bénéficié de ses sages conseils. Aujourd’hui, il vient de mettre une nouvelle corde à son arc. En plus d’être un mordu de la musique et bon samaritain pour les veuves et les orphelins, il vient de sortir une oeuvre littéraire intitulée ‘’Et si on en parlait…La quête du bonheur et du bien-être’’.
Aimé monoko : ‘’Cet ouvrage est d’abord mon vécu, mon quotidien. 50% des chroniques parlent de moi-même’’
Dans le showbiz en Côte d’Ivoire, Joseph Aimé Monoko Barato Maranatha n’est pas un nom inconnu. La plupart des artistes Zouglou citent son nom voire d’autres dans leurs chansons.
Cet ancien footballeur devenu plus tard un fonctionnaire d’État, est plus qu’un producteur pour beaucoup d’artistes en Côte d’Ivoire.
En plus de cela, c’est un véritable philanthrope, un homme qui a la main sur le cœur avec son ONG Côte d’Ivoire Solidarité qui existe depuis plus de 10 ans maintenant, tend la main aux veuves et orphelins sur le territoire ivoirien.
Toutefois, l’homme s’est découvert une nouvelle passion depuis un an et demi à présent qui est l’écriture. Il vient de coucher dans une œuvre littéraire plusieurs de ses réflexions qu’il partageait sur les réseaux sociaux.
‘’Cet ouvrage est d’abord mon vécu, mon quotidien. 50% des chroniques parlent de moi-même. Je me projette dans ma retraite, je me projette dans ma vieillesse, je me projette à des moments où je peux ne pas répondre présent.
C’est ce qui m’a donné envie d’écrire. Ayant vu des amis proches, des frères, des parents, etc. qui étaient dans de bonnes situations hier qui ont pris leur retraite et tout le monde les a abandonnés. Quelqu’un qui se portait bien et par un concours de circonstance est affaibli par la maladie ou se trouve dans une situation de handicap. Tout cela m’a inspiré à écrire’’, explique-t-il.
Avant d’ajouter : ‘’C’est pour dire à quelqu’un que tout est éphémère. C’est pour dire à quelqu’un que tout ce que nous faisons, il est bon de nous référer au Seigneur. L’essence de cet ouvrage, c’est d’avoir en mémoire qu’un jour Dieu va nous rappeler. D’avoir en mémoire tout ce que nous possédons peut partir’’.
Raison pour laquelle, le livre de Joseph Aimé Monoko Barato Maranatha est intitulé à juste titre ‘’Et si on en parlait…La quête du bonheur et du bien-être’’. Une occasion pour dire à quelqu’un si on parlait de ta retraite, de ta situation de maladie, de ta situation de déchéance.
Aujourd’hui, quelqu’un peut avoir tout le pouvoir et demain ne plus avoir même un centimètre de pouvoir. ‘’Et si on en parlait sont des chroniques qui parlent de moi, de toi, de mon frère, de mon quotidien’’, souligne-t-il.
Cette œuvre de 132 pages qui sera présentée officiellement le jeudi 13 juillet au Palm Club hôtel de Cocody, est composée de 37 chroniques dont par exemple ‘’Ne sois pas un mal nécessaire’’,‘’Le marigot du village’’ et ‘’Ozoua, la poule du village’’.
L’auteur fait savoir également qu’il y aura la suite de ‘’Et si on en parlait…La quête du bonheur et du bien-être’’ dans un Tome 2, 3 et 4.
L’ouvrage a bénéficié de l’appui, l’encadrement et du coaching de plusieurs personnes dans le domaine des médias et de la littérature comme Philippe Demanois, Marcellin Atissony, César Bolou Ehouman, José Téti et Anzata Ouattara.
A un moment donné, Joseph Aimé Monoko Barato Maranatha à voulu abandonner, mais il a fallu le soutien de ces personnes pour arriver à terminer l’écriture de ce livre.